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Que faire après un Bac+3 ? 5 voies pour construire votre avenir

Trois étudiantes de BSB rient et échangent autour d’un ordinateur portable dans un couloir lumineux. Illustration de la dynamique de groupe et de l’émulation intellectuelle après un bac+3. - BSB

Que faire après un Bac+3 ? Vous allez valider trois années d’études et une chose est sûre : la question de la suite se pose. Faut-il enchaîner sur un master, tenter une première expérience professionnelle, partir à l’étranger, prendre une année de césure… ou même créer votre entreprise ?

Aucun projet ne se ressemble, votre avenir est entre vos mains. C’est le moment de faire des choix cohérents, réfléchis et stratégiques.

Le choix n’est pas simple. C’est normal de douter. Chaque option ouvre des perspectives différentes : sécuriser un avenir professionnel, gagner du temps avant de se spécialiser, ou encore se lancer dans un projet plus audacieux.

Dans ce guide, on fait le point sur les 5 grandes voies après un Bac+3, pour vous aider à prendre une décision éclairée et surtout alignée avec vos ambitions.

À retenir

  • Un diplôme Bac+3 (Licence, Bachelor, BUT) correspond à trois années d’études supérieures et ouvre naturellement la voie vers un Bac+5. Il peut aussi permettre une insertion directe sur le marché du travail.
  • Les options après un Bac+3 sont multiples : emploi, Master universitaire, Master Grande École, année de césure, international, entrepreneuriat.
  • Choisir une Grande École comme BSB après un Bac+3, c’est accéder à l’alternance, à l’international avec plus de 200 universités partenaires, et à un accompagnement individuel et personnalisé (Pathfinder™) pour construire un parcours cohérent.
  • Pour entreprendre, vous pouvez vous lancer dès le Bac+3, mais un Master spécialisé et l’incubateur BSB – The Entrepreneurial Garden maximisent vos chances de réussite.

Bac+3 : définition, atouts et limites

Diplôme Bac+3 : ce qu’il valide et les portes qu’il ouvre

Un Bac+3 correspond à un cycle complet d’études supérieures, soit trois années validées par 180 crédits ECTS. Selon votre parcours, il peut prendre la forme d’une Licence universitaire, d’un Bachelor en école de commerce ou d’un BUT. Ces formations sont reconnues par l’État et délivrent soit un grade de licence, soit un titre RNCP de niveau 6, ouvrant ainsi l’accès à des études de niveau Bac+5 (Master, Master Grande École).

Le Bac+3 représente une étape solide : il prouve votre capacité à aller au bout d’un cursus, à maîtriser des fondamentaux (gestion, droit, marketing, finance…) et à adopter des méthodes de travail adaptées au supérieur.

💡 Bon à savoir

Il existe une différence essentielle entre un niveau Bac+3 et un diplôme Bac+3 avec grade de licence :

  • Un niveau Bac+3 (titre RNCP de niveau 6, certification) est reconnu, mais il n’offre pas toujours les mêmes passerelles académiques. Certains Masters sélectifs ou Grandes Écoles exigent un diplôme visé. Dans ce cas, l’accès dépendra d’équivalences ou de validations accordées au cas par cas.
  • Un diplôme Bac+3 avec grade de licence (Licence, Bachelor visé, BUT) garantit officiellement vos acquis et ouvre directement la voie vers un Master 1 ou un Master Grande École, en France comme à l’international.

Concrètement, cette différence peut jouer sur deux plans :

  • Vos possibilités d’études : certaines formations Bac+5 (Masters sélectifs, écoles internationales) exigent explicitement le grade de licence.
  • Votre employabilité : un titre RNCP de niveau 6 est reconnu, mais n’a pas le même poids académique qu’un diplôme visé avec grade. Les recruteurs, notamment dans les grands groupes et à l’international, sont attentifs à ce détail.

📌 À retenir : à BSB, le Bachelor in Management est visé par l’État et confère le grade de licence. Cela garantit une reconnaissance académique de haut niveau et ouvre sans restriction l’accès aux Masters, en France comme à l’étranger.

Un diplôme reconnu, mais…

…il reste souvent perçu comme un palier intermédiaire. Avec un Bac+3, vous êtes formé·e à des fonctions d’exécution pour occuper des postes supports (chargé de clientèle, assistant chef de produit, contrôleur de gestion junior…). Les recruteurs apprécient ce profil opérationnel, mais pour viser des postes à responsabilités stratégiques ou un management d’équipe, un niveau Bac+5 est de plus en plus exigé.

Autre limite : le Bac+3 peut être généraliste. Sans spécialisation forte, il peut être difficile de se démarquer sur un marché de l’emploi compétitif. Les entreprises recherchent aujourd’hui des compétences pointues (data, finance, marketing digital, RSE, management international), que vous ne pourrez acquérir pleinement qu’en poursuivant vos études.

Enfin, le Bac+3 offre une bonne insertion professionnelle, mais souvent avec des salaires d’entrée moins attractifs qu’après un Master. C’est pourquoi beaucoup de diplômés choisissent de prolonger leur parcours, pour sécuriser des perspectives d’évolution et multiplier les opportunités, en France comme à l’international.

Téléchargez gratuitement la brochure: Comment choisir son École de Commerce ?  - BSB

1. Choisir d’entrer sur le marché du travail

Avec un Bac+3 en poche, vous pouvez déjà envisager une première insertion professionnelle. C’est particulièrement vrai si vous avez suivi un Bachelor en école de commerce, marqué par des stages ou une année en alternance. Ces expériences vous donnent une crédibilité immédiate auprès des recruteurs.

En troisième année de Bachelor à BSB, vous commencez à vous spécialiser (finance, marketing du luxe, digital, data, international, wine tourism, développement durable…). Cela renforce nettement votre employabilité : vous arrivez sur le marché du travail avec un profil déjà orienté vers un secteur précis. 

Quels métiers après un bac+3 ?

Les débouchés dépendent beaucoup de votre spécialisation. Voici quelques exemples concrets de postes en sortie de Bac+3 :

  • Marketing & communication : assistant chef de produit, community manager, chargé d’études marketing.
  • Business development & commerce : business developer, chargé de clientèle, responsable de secteur junior.
  • Finance : analyste financier junior, assistant contrôleur de gestion, conseiller bancaire.
  • Luxe & retail : assistant brand manager, responsable adjoint boutique, coordinateur marketing luxe.
  • International business management : sales coordinator, chargé de projet export, assistant développement international.
  • Wine tourism : chargé d’œnotourisme, assistant export vins et spiritueux, responsable junior accueil cave.
  • Digital management : assistant chef de projet digital, traffic manager junior, analyste e-commerce.
  • Data & web : web analyst, assistant data manager, chargé d’optimisation SEO/SEA.
  • International sustainable management : chargé de mission RSE, coordinateur développement durable, assistant en stratégie climat.

📌 À retenir : 85 % des étudiants en alternance à BSB décrochent un CDI en moins de 4 mois après leur diplôme (Enquête CGE 2024).

Quels salaires peut-on prétendre avec un bac+3 ?

Rassurez-vous, même avec un profil Bac+3, il est déjà possible de négocier un salaire correct, surtout selon le secteur, la localisation, l’expérience (stages, alternance) et la structure de l’entreprise. Voici quelques repères :

  • En France, un jeune diplômé Bac+3 peut espérer un salaire annuel brut d’environ 25 000 à 35 000 € pour un premier poste. 
  • Dans les écoles de commerce, ce chiffre peut grimper : le salaire moyen de sortie pour un diplômé d’école de commerce se situe autour de 30 000 à 35 000 € brut annuels (hors primes) selon l’enquête CGE 2025.
  • Pour les métiers de la finance ou du luxe, les salaires d’entrée peuvent être plus élevés. Cela dépend fortement du secteur, de la taille de l’entreprise et du lieu (Paris ou grandes métropoles vs provinces).

Exemple plus concret dans les métiers financiers/comptables : un assistant comptable démarre entre 24 000 à 28 000 €* brut par an, un contrôleur de gestion junior ou auditeur junior peut se situer entre 28 000 et 32 000 €* brut/an.

🧭 À garder en tête : ces salaires de début de carrière sont souvent rehaussés par des primes (commission, bonus, indemnités) dans les métiers commerciaux ou financiers.

Ce point vous donne une base de négociation quand vous postulez et sert de repère pour comparer les offres.

Entrer directement sur le marché du travail après un Bac+3, c’est surtout démarrer sur des postes opérationnels, mais avec une vraie marge de progression. Certains diplômés choisissent de travailler quelques années avant de reprendre en Master, d’autres évoluent rapidement en interne grâce à l’expérience acquise.

2. Poursuivre en études longues

Continuer ses études après un Bac+3 reste le choix le plus fréquent. 

Pourquoi ? Parce qu’un Bac+5 ouvre la porte à des postes plus stratégiques, mieux rémunérés, et accélère souvent l’évolution de carrière. Deux grandes options s’offrent à vous : l’université ou une Grande École de management.

Master universitaire

Le Master à l’université est la voie la plus “classique” après une licence générale ou professionnelle. Vous candidatez en Master 1, puis poursuivez en Master 2. Les spécialisations sont nombreuses (droit, économie, gestion, RH, finance, data, marketing…) et les frais d’inscription restent généralement accessibles.

En contrepartie, les promotions sont plus grandes, l’accompagnement est quasi inexistant, et il vous faudra être très autonome pour trouver stages ou alternance (s’ils font partie du cursus). Le master universitaire est très académique, peu professionnalisant.

Deux étudiants à BSB travaillent ensemble sur une table ronde, dans un espace moderne avec un fond jaune vif. Représentation du travail collaboratif en école de commerce après un bac+3. - BSB

Master Grande École en initial ou en alternance

Choisir un Master Grande École (MGE), c’est miser sur un environnement académique d’excellence et professionnel taillé pour accélérer votre carrière. Vous intégrez via le concours BCE ou le concours Passerelle (selon votre parcours jusqu’en bac+2/+3) et profitez d’un parcours structuré autour de la spécialisation, de l’expérience professionnelle et de l’ouverture internationale.

À BSB, le dispositif d’accompagnement personnalisé et illimité Pathfinder™ vous aide à définir et à créer un parcours cohérent et aligné à votre personnalité, tandis que l’alternance dès le M1 permet de financer vos études à 100 % et de gagner jusqu’à 2 ans d’expérience en entreprise. S’ajoutent à cela un réseau de 19 000 alumni et 200 universités partenaires pour bâtir un profil compétitif à l’international.

📌 À retenir : le MGE délivre un grade de Master reconnu à l’international, et 90 % des diplômés trouvent un emploi en moins de 4 mois après leur diplôme. C' est clairement le choix premium pour booster employabilité et carrière.

Master universitaire vs Master Grande École : les différences clés

🧭 Critère 🎓 Master universitaire 🏆 Master Grande École (MGE)
Durée 2 ans (M1 + M2) 2 ans (M1 + M2)
Frais de scolarité Abordables mais non finançables Plus élevés mais 100 % financés en alternance
Accompagnement Cours plus théoriques, autonomie Coaching illimité (Pathfinder™), suivi personnalisé
Expérience pro Stages selon filière Alternance dès M1 + stages longs intégrés
Ouverture internationale Variable selon université 200+ universités partenaires, doubles diplômes
Réseau alumni Moins structuré Réseau puissant (19 000 diplômés BSB)
Insertion Dépend de la spécialité Très forte : 90 % en emploi en < 4 mois (BSB)

3. Faire une année de césure

Après un Bac+3, tout le monde ne se sent pas prêt à enchaîner directement avec un Master ou à se lancer dans la vie active. C’est là qu’intervient l’année de césure : une parenthèse volontaire entre deux cycles d’études pour enrichir son parcours autrement.

Concrètement, une césure peut prendre plusieurs formes :

  • un stage long pour gagner de l’expérience avant de reprendre les cours ;
  • un emploi temporaire pour mettre de côté et financer la suite des études ;
  • un projet personnel (voyage, bénévolat, mission humanitaire, création artistique…) ;
  • ou encore un projet entrepreneurial, en testant une idée avant de s’engager pleinement.

Attention, une césure n’est pas une année “blanche”. Les écoles et les recruteurs attendent que vous en fassiez un moment utile et cohérent avec votre projet professionnel.

📌 Bon à savoir : en école de commerce, une césure peut être encadrée et reconnue dans le parcours, ce qui permet de sécuriser son retour en Master. À BSB par exemple, elle s’inscrit dans une logique de développement personnel et professionnel, souvent accompagnée par les coachs du dispositif Pathfinder™.

En résumé, une césure est une respiration, mais une respiration stratégique. Bien utilisée, elle peut donner de la maturité à votre profil et vous aider à aborder la suite avec plus de clarté et de confiance.

⚠️ Les 3 erreurs à éviter en année de césure

  • Se reposer sans plan : une césure improvisée peut donner l’impression d’un “trou” dans le CV.
  • Multiplier les projets sans cohérence : mieux vaut un projet solide qui apporte une vraie valeur qu’une succession d’activités éparses.
  • Sous-estimer la préparation : financement, assurance, démarches administratives… tout doit être anticipé pour éviter les mauvaises surprises.
Étudiante allongée dans un espace détente du campus BSB, souriante et concentrée sur son téléphone. Illustration de l'épanouissement personnel et de la liberté de choix après un bac+3. - BSB

4. Partir à l’international (double diplôme possible)

Envie de donner une dimension internationale à votre parcours après un Bac+3 ?

Très bonne idée, c’est un véritable atout. Les recruteurs valorisent énormément les profils capables d’évoluer dans un environnement multiculturel, de maîtriser l’anglais (ou une autre langue) et d’avoir déjà étudié ou travaillé à l’étranger. 

Deux grandes voies s’offrent à vous : l’international via vos études, ou l’international par des dispositifs extérieurs comme le VIE ou le PVT.

Etudier à l’international pendant un Master

La plupart des expériences académiques à l’étranger se vivent dans le cadre d’un Master (université ou Grande École). Selon votre projet, vous pouvez opter pour :

  • Le semestre académique dans une université partenaire : idéal pour tester un nouvel environnement sans interrompre trop longtemps votre cursus.
  • L’année complète à l’étranger : plus exigeante, mais elle vous donne une immersion totale et une vraie légitimité internationale sur le CV.
  • Le double diplôme : vous repartez avec le diplôme de votre école française et celui de l’université partenaire. C’est une carte maîtresse si vous visez une carrière à l’étranger ou des multinationales
  • Le stage international : une alternative qui permet de cumuler expérience professionnelle et immersion culturelle.
  • Les Summer ou Winter Schools (uniquement pour les étudiants en cours de cursus) : sessions intensives de quelques semaines dans une université partenaire. Elles sont payantes et viennent en complément du programme principal, mais elles renforcent vos compétences linguistiques et culturelles.

📌 À retenir : à BSB, plus de 200 universités partenaires dans 60 pays ouvrent la voie à des échanges et doubles diplômes. Vous pouvez aussi construire un réseau international directement sur le campus, où plus de 80 nationalités se côtoient au quotidien.

Partir à l’étranger en dehors du cadre académique

Vous ne poursuivez pas immédiatement vos études en Master, mais vous souhaitez tout de même acquérir une expérience internationale ? 

Plusieurs dispositifs existent :

  • Le VIE (Volontariat International en Entreprise) : accessible aux jeunes de 18 à 28 ans, il vous permet de partir 6 à 24 mois en mission dans une entreprise française ou une organisation partenaire à l’étranger. Le VIE est rémunéré (indemnité variable selon le pays) et reconnu par l’État. C’est une rampe de lancement vers l’emploi : plus de 9 volontaires sur 10 trouvent un poste à la suite de leur mission.
  • Le PVT (Programme Vacances-Travail) : ce visa, proposé dans de nombreux pays (Australie, Canada, Japon, Corée du Sud, Argentine, etc.), vous permet de séjourner environ un an à l’étranger tout en travaillant pour financer votre voyage. Les emplois sont souvent saisonniers ou de terrain (hôtellerie, restauration, animation…), mais cette expérience reste une formidable opportunité pour progresser en langue, découvrir une culture et enrichir votre CV.

✈️ Que ce soit dans un cadre académique ou via des dispositifs comme le VIE ou le PVT, partir à l’international reste une expérience transformatrice. Elle développe autonomie, adaptabilité et ouverture d’esprit : des qualités aujourd’hui indispensables dans un marché du travail globalisé.

🎓 Pourquoi un double diplôme fait la différence ?

  • Deux diplômes pour le prix d’un : vous validez le grade français de votre école et un diplôme international, ce qui renforce immédiatement votre crédibilité.
  • Un passeport pour l’international : en poste à l’étranger ou dans un grand groupe, avoir étudié dans deux systèmes éducatifs différents est un atout décisif.
  • Un accélérateur de carrière : les doubles diplômés sont souvent favorisés sur les postes à responsabilités ou les parcours de jeunes talents, car ils combinent vision globale et spécialisation pointue.

5. Créer son entreprise

Et si votre Bac+3 devenait le point de départ d’une aventure entrepreneuriale ? 

De plus en plus d’étudiants choisissent de lancer leur propre projet dès la fin de leurs études, profitant de l’énergie, des réseaux et des compétences acquis pendant leur cursus.

Se lancer si tôt n’est pas une décision anodine : créer une entreprise exige de la préparation, un modèle économique solide et une grande capacité d’adaptation. Le Bac+3 vous apporte déjà des bases en management, finance, marketing ou stratégie. De quoi commencer à tester vos idées et apprendre en faisant.

👉 Concrètement, deux chemins s’offrent à vous :

  • Vous lancer dès le Bac+3 : transformer un projet développé en stage ou en alternance en véritable business, créer une micro-entreprise pour tester un concept, ou rejoindre un incubateur pour être accompagné dans vos premiers pas.
  • Poursuivre en Master tout en entreprenant : choisir un Master spécialisé en entrepreneuriat vous permet d’acquérir des compétences clés (management d’équipe, levée de fonds, droit des affaires, stratégie). À BSB, vous pouvez en parallèle être accompagné par l’incubateur The Entrepreneurial Garden pour développer concrètement votre projet dans un cadre sécurisé et entouré d’experts.

📌 À retenir : entreprendre après un Bac+3 est possible, mais poursuivre en Master maximise vos chances de réussite. Vous combinez alors formation académique, expérience terrain et accompagnement entrepreneurial.

Créer son entreprise après un Bac+3, c’est oser prendre les devants. Certains projets décollent vite, d’autres évoluent progressivement, mais tous vous feront grandir et renforceront votre employabilité.

FAQ – Que faire après un Bac+3 ?

Master ou emploi : comment choisir ?

Tout dépend de vos priorités. Si vous voulez entrer rapidement dans la vie active, un Bac+3 suffit pour décrocher un poste opérationnel. Mais si vous visez des responsabilités, une évolution rapide et de meilleurs salaires, poursuivre jusqu’au Bac+5 (Master universitaire ou Master Grande École) est souvent le meilleur choix.

Quelles sont les conditions d’admission en Master après un Bac+3 ?

Pour intégrer un Master 1, vous devrez présenter un dossier académique (notes, CV, lettre de motivation), réussir un test d’aptitude (comme le Tage Mage ou le Score IAE Message), justifier de votre niveau d’anglais (TOEIC, TOEFL, IELTS) et convaincre lors d’un entretien. À BSB, l’admission au Master Grande École se fait via le Concours Passerelle.

Peut-on faire un M1 en alternance ?

Oui. De nombreuses écoles proposent l’alternance dès le Master 1. C’est le cas à BSB, où l’alternance finance 100 % des frais de scolarité et permet d’acquérir une expérience professionnelle valorisable dès la sortie.

Bachelor ou licence : qu’est-ce qui change pour la suite ?

Les deux ouvrent les portes d’un Master, mais pas avec la même approche. La licence universitaire est plus académique, tandis que le Bachelor en école de commerce met l’accent sur la pratique (stages, alternance, international). Selon votre projet, les recruteurs et les jurys de Master peuvent privilégier un profil plus professionnalisant ou plus théorique.

Et si je veux partir à l’international en M1/M2 ?

C’est possible dans la plupart des écoles et universités. Vous pouvez opter pour un semestre, une année ou un double diplôme à l’étranger. À BSB, plus de 200 universités partenaires vous permettent d’étudier aux quatre coins du monde et de renforcer votre profil international.

*source : Ihecf